Autres emplois aidés

Autres emplois aidésExo embauche premier, deuxième ou troisième salarié

Première date
disponible
1 janv. 1993

Dernière donnée
disponible France entière
0 En décembre 1996

Somme
France entière
712 Depuis janvier 1996

Niveau géographique
le plus fin
Département

Dernière
mise à jour
25 juin 2021

Aperçu des 3 dernières années

Tableau

Graphique

Tableau

Données brutes - Exonération de cotisations sociales pour l'embauche d'un 3e salarié - entrées
Données brutes Janv. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc.
1996 332 178 111 51 12 18 6 0 2 1 1 0
1995 438 445 450 447 435 396 390 376 446 553 486 303
1994 152 286 241 280 315 358 377 361 485 607 502 422
Glissement annuel - Exonération de cotisations sociales pour l'embauche d'un 3e salarié - entrées
Glissement Janv. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc.
1996 -24,2 % -60 % -75,3 % -88,6 % -97,2 % -95,5 % -98,5 % -100 % -99,6 % -99,8 % -99,8 % -100 %
1995 188,2 % 55,6 % 86,7 % 59,6 % 38,1 % 10,6 % 3,4 % 4,2 % -8 % -8,9 % -3,2 % -28,2 %
1994 7 % 102,8 % 62,8 % 94,4 % 108,6 % 97,8 % 123,1 % 159,7 % 166,5 % 181 % 157,4 % 148,2 %

Source : Dares.

Informations sur la série

Description de la mesure :
L’exonération de charges patronales pour une première embauche a été étendue à l'embauche d'un deuxième ou troisième salarié par la loi quinquennale pour l'emploi de 1995. L'objectif de cette mesure était de favoriser l'emploi dans certaines zones rurales difficiles et dans des quartiers en difficulté. On espérait aussi le développement de petites entreprises.

Collecte et qualité des données :
La qualité des données transmises à la DARES n'était pas très bonne. Les données ont été publiées dans le tableau de bord des politiques d'emploi. Les données de stocks ne sont pas disponibles mais il existe une estimation pour la France métropolitaine réalisée par la DARES.

Description du dispositif

Exo embauche premier, deuxième ou troisième salarié.

Définition des indicateurs

Il s'agit des données initiales de la série, sans modification. Exemple : nombre de nouveaux contrats de volontariat pour l’insertion, nombre de bénéficiaires du service civique

Renvoie la somme d’une série sur un intervalle précisé.

Renvoie la moyenne arithmétique d’une série sur un intervalle précisé.

Renvoie la somme des valeurs de la série depuis le début de l’année. Dans le cas d'une donnée mensuelle, la somme commencera en janvier, dans le cas d'une donnée trimestrielle, elle commencera avec le 1er trimestre. Ainsi, pour une donnée mensuelle, le cumul annuel de janvier = réalisation de janvier, celui de février = réalisation de janvier + réalisation de février et celui de mars = réalisation de janvier + réalisation de février + réalisation de mars....

Identique au cumul annuel à la différence qu’on fixe le mois d’initialisation de la somme (cas d'une donnée mensuelle). Pour le cumul annuel, le mois d’initialisation est le mois de janvier. Pour le cumul à date, un mois différent peut être choisi. Par exemple, si on choisit le mois de juin. Le cumul à date d'une donnée en septembre 2020 = somme des réalisations de juin 2020 à septembre 2020. Le cumul à date de cette donnée en février 2021 = la somme des réalisations de juin 2020 à février 2021 .

Correspond à la moyenne d’une série sur les douze derniers mois. Exemple : la moyenne mobile d'une donnée en septembre 2020 correspond à la moyenne de cette série entre octobre 2019 et septembre 2020.

Evolution d’une grandeur à un an d’intervalle (glissement annuel), à un semestre d'intervalle (glissement semestriel), à un trimestre d'intervalle (glissement trimestriel) ou à un mois d'intervalle (glissement mensuel). On compare la valeur d’une grandeur avec un an, un semestre, un trimestre ou un mois d’écart et on exprime cette évolution en pourcentage. Par exemple, dans le cas d'un glissement annuel d'une donnée en février N, on compare la grandeur au mois de février N avec celle du mois de février N-1.